Cela fait un petit bout de temps que je songe à recommencer
à lire des albums BD , largement incité par les billets de Violette et Lalydo.
Mais à chaque fois que je me retrouve dans le rayon de ma Fnac, je ne sais jamais quel album choisir, ayant décroché depuis un bon moment sur ce sujet…
Mais à chaque fois que je me retrouve dans le rayon de ma Fnac, je ne sais jamais quel album choisir, ayant décroché depuis un bon moment sur ce sujet…
Du coup, histoire de conrinuer à m’évader dès mon retour de Venise , et encore la tête dans mon guide Itinéraires avec Corto Maltese, j’ai décidé de reprendre mes albums d’Hugo Pratt , en commençant par la Ballade de la mer salée.
Cet album est celui où on découvre pour la première fois Corto Maltese.
Il n’est pas encore le personnage principal des œuvres du dessinateur.
Il est accompagné de son acolyte Raspoutine et d’un moine pour le moins fascinant.
Corto est ici plus rude, massif, beaucoup moins charmant que dans les opus suivant et Hugo Pratt l’a dessiné avec des traits plus rugueux, anguleux et un faciès plus sombre.
Il est le témoin des aventures de Pandora et Cain face au charismatique moine, pirate des mers du sud pendant la 1ère guerre mondiale.
Le récit est haletant et tranche avec le caractère imperturbable de Corto , le marin avec son anneau et sa cigarette, l’air détaché du temps, las des évènements.
La Ballade de la mer salée évoque surtout pour moi le coup de pinceau d’Hugo Pratt.
Toute sa vie, le dessinateur était à la recherche du ‘trait juste’ c’est-à-dire du trait efficace.
Et en ce sens, cet album est une réussite.
Le récit est ponctué d’images très fortes et incroyablement vivantes, habilement construites en noir et blanc.
Au fil des albums, Corto finira par s’imposer à la fois comme le héros et le double de son créateur Hugo Pratt mais il me semble que dans aucun autre album ne règne un souffle aussi épique que dans celui-ci.
Cet album est celui où on découvre pour la première fois Corto Maltese.
Il n’est pas encore le personnage principal des œuvres du dessinateur.
Il est accompagné de son acolyte Raspoutine et d’un moine pour le moins fascinant.
Corto est ici plus rude, massif, beaucoup moins charmant que dans les opus suivant et Hugo Pratt l’a dessiné avec des traits plus rugueux, anguleux et un faciès plus sombre.
Il est le témoin des aventures de Pandora et Cain face au charismatique moine, pirate des mers du sud pendant la 1ère guerre mondiale.
Le récit est haletant et tranche avec le caractère imperturbable de Corto , le marin avec son anneau et sa cigarette, l’air détaché du temps, las des évènements.
La Ballade de la mer salée évoque surtout pour moi le coup de pinceau d’Hugo Pratt.
Toute sa vie, le dessinateur était à la recherche du ‘trait juste’ c’est-à-dire du trait efficace.
Et en ce sens, cet album est une réussite.
Le récit est ponctué d’images très fortes et incroyablement vivantes, habilement construites en noir et blanc.
Au fil des albums, Corto finira par s’imposer à la fois comme le héros et le double de son créateur Hugo Pratt mais il me semble que dans aucun autre album ne règne un souffle aussi épique que dans celui-ci.
4eme de couverture : Première œuvre de Pratt dans
laquelle on rencontre le personnage de Corto Maltese, La ballade de la mer
salée "devait marquer l'histoire de la bande dessinée à la fois par son
ampleur, ses qualités littéraires, qui le rapprochaient des grands romans
d'aventures maritimes, et par l'apparition de Corto Maltese, qui n'était
pourtant qu'un des protagonistes de l'histoire "
Nous y découvrons ainsi celui qui allait devenir le plus célèbre des marins maltais, embarqué sur le catamaran de Raspoutine après avoir dérivé sur un radeau suite à la mutinerie de son équipage. Tous deux travaillent pour le compte du mystérieux "Moine", maître de tous les pirates qu'on pouvait rencontrer entre l'Australie et la Nouvelle-Guinée, pour lequel ils attaquent différents navires dans le Pacifique Sud, dont ils revendent ensuite les marchandises aux Allemands.
Nous y découvrons ainsi celui qui allait devenir le plus célèbre des marins maltais, embarqué sur le catamaran de Raspoutine après avoir dérivé sur un radeau suite à la mutinerie de son équipage. Tous deux travaillent pour le compte du mystérieux "Moine", maître de tous les pirates qu'on pouvait rencontrer entre l'Australie et la Nouvelle-Guinée, pour lequel ils attaquent différents navires dans le Pacifique Sud, dont ils revendent ensuite les marchandises aux Allemands.
J'adore ces dessins, inimitables !
RépondreSupprimerContente de voir que mes critiques BD t'ont donné envie :) Je n'ai jamais lu Hugo Pratt, il faudrait que je m'y penche plus sérieusement !
RépondreSupprimerJe suis une inconditionnelle des Corto Maltese. Dans ma première maison, j'en avais fait une fresque dans une de mes pièces.
RépondreSupprimerJe ne suis pas fan de Corto Maltese mais je note ce titre car il plairait au parrain de mon fils, une bonne idée de cadeau merci M'dme.
RépondreSupprimer<3 Corto Maltese d'Hugo Pratt
RépondreSupprimerj'ai un fan de Corto à la maison. Une époque j'avais le droit aux posters et cadres, des BD partout. Il est toujours fan et s'accorde parfois un petit moment pour relire ses BD. J'ai jamais accroché. je ne sais pas pourquoi. Mais je trouve ce Corto vraiment séduisant :) bonne année Isa. Plein de bonnes choses à toi et ta famille (encore de beaux voyages pour 2014 !) bises
RépondreSupprimerles BD, c'est pas trop mon truc à part celles des illustratrices de la blogo que je lis toujours avec plaisir!
RépondreSupprimerBizarre, nous aimons tant les livres et la lecture, mais nous n'arrivons pas à aimer les BD...
RépondreSupprimerMoi aussi depuis que je lis le blog de Lalydo, je découvre l'univers des BD. Celle-là semble être un bon choix pour s'évader tout en illustrations. Bon week-end !
RépondreSupprimerAlors si tu te laisses tenter par la BD il y en a une qu'il faut à tout prix que tu lises c'est "Daytripper", elle est juste magnifique !
RépondreSupprimerLa BD j'y arrive pas rien à faire... J'aime les mots sans les images.
RépondreSupprimerMa bibliothèque regorge de grands classiques de la BD - mon homme en est fan -, mais j'ai toujours eu du mal à les lire, et ce n'est pas faute d'avoir essayé ^_^
RépondreSupprimerUn incontournable en BD ! bon choix...
RépondreSupprimerJe ne savais pas que tu étais une fana de BD ! Bonne nouvelle, j'en ai un à la maison comme toi ;)
RépondreSupprimerEt je sais qu'il les as tous lu. Je ne savais pas qu'il était si inimitable. De toute façon il faudrait déjà que je m'y mette pour ma part au dessin. Tu déssines toi-même ? A te lire on dirait que oui ?
Ah Pratt!!! Quel talent! La beauté des dessins et l'ambiance singulière de ses livres m'ont accompagnée pendant des années! Très belle année 2014 Isabelle!!! Que tes rêves et projets se réalisent!!
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