J’ai découvert Caryl Férey grâce à Zulu, le roman qui lui a permis de connaitre la consécration avec notamment le Grand Prix des lectrices de Elle.
J’avais immédiatement enchainé avec Haka et Utu.
Ayant acheté Mapuche, son dernier opus, le week-end dernier, j’ai décidé de relire la trilogie afin de me faire une semaine Caryl Férey.
Et sur ma lancée, je pense que la semaine prochaine, j’enchainerais sur une semaine James Ellroy, ces 2 écrivains ayant en commun le même style et la même façon de vous inciter à plonger tête premiere dans leurs univers.
Ayant acheté Mapuche, son dernier opus, le week-end dernier, j’ai décidé de relire la trilogie afin de me faire une semaine Caryl Férey.
Et sur ma lancée, je pense que la semaine prochaine, j’enchainerais sur une semaine James Ellroy, ces 2 écrivains ayant en commun le même style et la même façon de vous inciter à plonger tête premiere dans leurs univers.
Caryl Férey a écrit Haka à l’issu d’un voyage en Nouvelle
Zélande ... pas un voyage en touriste, plutôt une plongée dans la société néo-zélandaise
pour en extraire dans un roman ses contradictions, sa violence, la question
maorie et le choc des cultures.
Jack Fitzgerald est un flic violent, à demi maori, intelligent,
au passé chargé.
Des années auparavant, sa femme et sa fille ont disparu et depuis ses nuits sont blanches et ses jours emplis de fureur.
L’histoire démarre avec la découverte du corps d’une jeune femme morte et atrocement mutilées.
L'enquête, au cours de laquelle Fitzgerald est secondé par une jeune criminologue, va le mener au bout de l'enfer et remuer en profondeur son passé jusqu’au dénouement final.
Dès les premières lignes, tout est noir, les personnages, la société néo-zélandaise, le contexte politico-économique et pourtant on est rivé aux pages dont il émane une énorme énergie.
Le style fluide de l’écrivain, l’urgence qui se dégage de l’histoire, la crédibilité des personnages font que l’on s’accroche à ce récit sombre, à ces personnages qui dérapent et perdent pieds et on se laisse mener par les lignes.
Des années auparavant, sa femme et sa fille ont disparu et depuis ses nuits sont blanches et ses jours emplis de fureur.
L’histoire démarre avec la découverte du corps d’une jeune femme morte et atrocement mutilées.
L'enquête, au cours de laquelle Fitzgerald est secondé par une jeune criminologue, va le mener au bout de l'enfer et remuer en profondeur son passé jusqu’au dénouement final.
Dès les premières lignes, tout est noir, les personnages, la société néo-zélandaise, le contexte politico-économique et pourtant on est rivé aux pages dont il émane une énorme énergie.
Le style fluide de l’écrivain, l’urgence qui se dégage de l’histoire, la crédibilité des personnages font que l’on s’accroche à ce récit sombre, à ces personnages qui dérapent et perdent pieds et on se laisse mener par les lignes.
L’histoire n’est pas avare de rebondissements dans sa construction
et le mystère reste intact pratiquement jusqu’au bout tout en faisant monter la
pression.
Et puis comme dans Zulu qui se situe en Afrique du Sud, l’intrigue est ancrée solidement dans les ambiguïtés de ce pays et au final, malgré la violence, l’envie de découvrir ce pays est accrue et aiguisée.
Et puis comme dans Zulu qui se situe en Afrique du Sud, l’intrigue est ancrée solidement dans les ambiguïtés de ce pays et au final, malgré la violence, l’envie de découvrir ce pays est accrue et aiguisée.
Quatrième de couverture : Il y a vingt-cinq ans, Jack
Fitzgerald s'est engagé dans la police néo-zélandaise avec l'espoir de
retrouver sa femme et sa fille, toutes deux mystérieusement disparues.
Aujourd'hui capitaine de la police d'Auckland, il cherche à travers les
affaires du quotidien un lien qui pourrait le délivrer de sa névrose.
La jeune fille que l'on vient de retrouver morte sur une plage n'est que le premier d'une effroyable série de cadavres...
Secondé par Ann Waitura, une jeune et brillante criminologiste, Fitzgerald mène l'enquête jusqu'au chaos final.
La jeune fille que l'on vient de retrouver morte sur une plage n'est que le premier d'une effroyable série de cadavres...
Secondé par Ann Waitura, une jeune et brillante criminologiste, Fitzgerald mène l'enquête jusqu'au chaos final.
Tu m'as donné envie de découvrir Caryl Féry. Justement il faut que je passe chez Mollat aujourd'hui !
RépondreSupprimerTu me donnes franchement envie de le découvrir, sans parler de la couverture qui avait déjà attiré mon regard !
RépondreSupprimerJe ne suis pas très polar mais je vais essayer ...
RépondreSupprimerBiz
Je ne connais pas cette auteur, je le note car je ne pense pas avoir lu de livre sur la Nouvelle Zélande. Je suis curieuse d'en savoir un peu plus.
RépondreSupprimerContent que cet auteur te plaise , ceci dit, il y avait peu de chances que cela ne soit pas le cas...
RépondreSupprimerSi j'étais libraire, je t'embaucherais pour discuter "livres" dans mon magasin. Tu as le don de susciter de nouvelles envies de lecture.
RépondreSupprimerBonne journée au soleil !
Je ne connais pas cet auteur. Je prends note, j'ai bien envie de le découvrir !
RépondreSupprimerje ne connaissais pas du tout cet auteur, mais ça donne envie :)
RépondreSupprimerhttp://la-petite-vie-de-marie.blogspot.fr/
Je ne connais pas Caryl Férey mais tu m'as donnée envie de découvrir cet auteur!
RépondreSupprimeroh le haka, c'est toujours si impréssionnant en tut cas! ce livre pourrait me plaire!!!!
RépondreSupprimerbise
Je n'ai lu ni l'un ni l'autre, tu me tentes
RépondreSupprimerGros bisous
Tu as le don de me donner envie de découvrir de nouveaux auteurs ! J'ajoute celui-ci à mes prochaines lectures :)
RépondreSupprimerBsr - Suis impressionné comment t'avale ces lectures ! whao ! faut dire avec la météo !
RépondreSupprimerBeau week end ensoleillé !
Je ne connais pas ... A chaque post, je prends note pour "to read" ! Quel rythme!
RépondreSupprimerJe n'ai toujours pas lu cet auteur, mais tu en parles tellement bien qu'à chaque fois, tu me donnes envie!
RépondreSupprimerAh ben celui là aussi à l'air chouette !
RépondreSupprimerJe viens de finir la lecture...
RépondreSupprimerOh la la, la fin est incroyable.
Bisous