En 1968, un jeune homme, Darmesh dit Babo, quitte sa ville
de Madras dans le sud de l'Inde pour Londres.
La Grande-Bretagne, il en rêve depuis longtemps et espère y faire sa vie.
Avant son départ, sa mère, Trishala, lui rappelle les interdits : pas de viande, pas d'alcool, pas de tabac et pas de femme.
Une fiancée l'attend d'ailleurs en Inde.
Mais quelques semaines après son arrivée, Babo croise Sian, une jeune Galloise.
Coup de foudre.
Oubliée la fiancée indienne, oubliés les interdits.
Dans Le plaisir ne saurait attendre, l'amour est au cœur de l’histoire mais il ne s’agit pas non plus d’une histoire à l’eau de rose.
L'amour qui unit Babo et Sian est le chemin que l'auteur trace pour son récit, en les plaçant comme personnages principaux, avec les parents de Babo, sa grand-mère Ba et plus tard, leurs filles Mayuri et Bean, résultat d'une union de deux personnes différentes, de religions, de races, de cultures et de pays.
Ba, en particulier, est un personnage remarquable.
C'est une veuve vivant à Anjar, habitée d'une aura de sagesse éternelle, et qui vit entourée par les femmes du village et un eunuque.
Elle est l'aïeule, qui anticipe l'arrivée des membres de sa famille en y associant des odeurs.
La Grande-Bretagne, il en rêve depuis longtemps et espère y faire sa vie.
Avant son départ, sa mère, Trishala, lui rappelle les interdits : pas de viande, pas d'alcool, pas de tabac et pas de femme.
Une fiancée l'attend d'ailleurs en Inde.
Mais quelques semaines après son arrivée, Babo croise Sian, une jeune Galloise.
Coup de foudre.
Oubliée la fiancée indienne, oubliés les interdits.
Dans Le plaisir ne saurait attendre, l'amour est au cœur de l’histoire mais il ne s’agit pas non plus d’une histoire à l’eau de rose.
L'amour qui unit Babo et Sian est le chemin que l'auteur trace pour son récit, en les plaçant comme personnages principaux, avec les parents de Babo, sa grand-mère Ba et plus tard, leurs filles Mayuri et Bean, résultat d'une union de deux personnes différentes, de religions, de races, de cultures et de pays.
Ba, en particulier, est un personnage remarquable.
C'est une veuve vivant à Anjar, habitée d'une aura de sagesse éternelle, et qui vit entourée par les femmes du village et un eunuque.
Elle est l'aïeule, qui anticipe l'arrivée des membres de sa famille en y associant des odeurs.
De nombreux thèmes sont explorés à travers la vie des Patel : l'amour, les questions raciales et la question de l'identité, l'acceptation sociale, l'innocence perdue, la mort, les ajustements auxquels nous devons faire face quand un être aimé prend une autre direction, de façon inattendue, laissant un vide insupportable, et la patience.
Ce roman est écrit d'une plume claire et poétique, presque
insouciante, malgré les drames et les vicissitudes de l'existence par une jeune
femme, journaliste, poétesse et danseuse de Chennai et inspirée par l'histoire
de ses parents.
Tishani Doshi est née en 1975 à Chennai dans le Tamil Nadu.
Ce roman m’a bien évidemment rappelé de nombreux souvenirs ramenés de mon séjour en Inde dans cette ville et mes différentes excursions dans le Tamil Nadu.
Tishani Doshi est née en 1975 à Chennai dans le Tamil Nadu.
Ce roman m’a bien évidemment rappelé de nombreux souvenirs ramenés de mon séjour en Inde dans cette ville et mes différentes excursions dans le Tamil Nadu.
Tishani Doshi a quitté Chennai à 18 ans pour suivre des
études de Business Administration au Queens College de New York.
En 1999, elle déménage à Londres où elle travaille comme assistante du service publicité du fameux magazine de mode Harper’s & Queen avant de décider de regagner l’Inde.
A 26 ans, elle démarre une carriere de danseuse et en parralléle elle fait du journalisme en freelance.
En 2006, elle remporte le Prix All-India Poetry.
Son premier roman Le plaisir ne saurait attendre est né du souvenir d’une découverte d’enfance dans une cache secrète: la correspondance amoureuse de ses parents.
En 1999, elle déménage à Londres où elle travaille comme assistante du service publicité du fameux magazine de mode Harper’s & Queen avant de décider de regagner l’Inde.
A 26 ans, elle démarre une carriere de danseuse et en parralléle elle fait du journalisme en freelance.
En 2006, elle remporte le Prix All-India Poetry.
Son premier roman Le plaisir ne saurait attendre est né du souvenir d’une découverte d’enfance dans une cache secrète: la correspondance amoureuse de ses parents.
L'amour ne regarde pas avec les yeux mais avec l'esprit.
William
Shakespeare
Génial de découvrir que c'est l'histoire d'amour de ses parents qui est à l'origine de cette histoire ! :) Belle semaine Isa bises
RépondreSupprimerQuel parcours de vie pour Tishani Doshi...
RépondreSupprimerVoilà un livre qui ne demande qu'à être lu. Très belle présentation !
Il y a tout un continent de littérature à découvrir avec les auteurs indiens. Nous connaissons Arundhati Roy, Aravind Adiga et Monica Ali. C'est intéressant également lorsqu'ils ont une culture britannique, pour nous qui aimons la Grande-Bretagne ;)
RépondreSupprimerRidiculous quest there. What occurred after? Take care!
RépondreSupprimerFeel free to surf to my web blog capsiplex
I'm not sure where you are getting your info, but great topic.
RépondreSupprimerI needs to spend some time learning more or understanding more.
Thanks for excellent info I was looking for this info for
my mission.
my webpage ... cheap web hosting and domain registration
Je note, cela à l'air plutôt bien.
RépondreSupprimerRien que le titre, et je suis déjà appelée à le lire...
RépondreSupprimerMerci et biz
Ohohoh sur wish list immédiatement.
RépondreSupprimerJe note ce titre, tu nous en parles tellement bien
RépondreSupprimerQuelle vie ! Tu me tentes et je me doute que de retour de ton voyage en Inde, tu as du apprécier cette lecture !!
RépondreSupprimerEt bien merci pour cette découverte, je m'empresse de le noter dans ma PAL ! C'est fasciannt comme destin !
RépondreSupprimerMoi aussi, je le note dans ma PAL! J'aime bien ce genre d'histoire!
RépondreSupprimerMerci Isa!
Je note, je note, je note!!!
RépondreSupprimerMerci pour le conseil de lecture.
Belle semaine à toi